Archives de catégorie : Vie de l’Église



Installation de Monseigneur LAGLEIZE

Grâce au lien suivant retrouvez tous les moments forts de l’installation de Monseigneur Jean-Christophe LAGLEIZE, notre nouveau Pasteur en Moselle.

Cette rétrospective a été rendue possible avec l’aimable autorisation du service communication de l’évêché de Metz qui, en direct, a mis en ligne ces moments forts pour notre diocèse.

Pour celles et ceux qui n’étaient pas à la cathédrale de Metz pour cet événement, comme pour moi-même, grâce à eux, et avec le concours de radio Jérico, nous avons assisté en direct à cette merveilleuse journée.

C’est ainsi que nous avons également appris, en fin de cérémonie que Monseigneur Lagleize a maintenu dans ses fonctions de Vicaire épiscopal notre curé-archiprêtre, l’abbé Jean-Louis BARTHELMÉ.

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Installation de M. l’abbé Jean-Louis BARTHELMÉ

En ce dimanche 29 septembre 2013, 26ème dimanche du Temps Ordinaire, la communauté de Paroisses saint Benoît de Bouzonville a vécu une grande journée ; l’installation de M. l’abbé Jean-Louis BARTHELMÉ, nouveau curé modérateur et archiprêtre de Boulay-Bouzonville.

Il faut remonter à 1967 pour retrouver l’installation d’un curé Archiprêtre à Bouzonville. C’était l’arrivée de M. l’abbé Édouard SPITZ.

L’abbé Jean-Louis BARTHELMÉ a été installé dans ses fonctions par Monseigneur Pierre RAFFIN, évêque émérite du Diocèse de Metz.

De nombreux prêtres, dont l’abbé Lucien GUERBER, archiprêtre à la retraite ; le Père Robert GURTNER, administrateur de la communauté de paroisses pendant deux ans ; le Père Louis ECKERLÉ, ancien curé de la communauté saint Bruno de l’Ancienne Chartreuse ; l’abbé Bernard SCHER, ancien curé de notre communauté de paroisses ; des prêtres de la région et de la proche région sarroise ont concélébré cette belle messe d’installation rehaussée par les chants de la chorale Sainte-Croix.

La célébration, malgré une assistance réduite, peut-être faute de communication suffisante, de désaffection des pratiquants ou d’autres raisons, était d’une grande solennité et a réjoui toutes les personnes présentes.

L’accueil : Photos M. THIERCY  – R. L. Bouzonville


Remise des clés par M. Gilbert PHILIPP en présence de M. MASSON, président de la Communauté des Communes

 

L’abbé Jean-Louis BARTHELMÉ entouré du Père Robert GURTNER, du Père Louis ECKERLÉ et de l’Abbé Bernard SCHER.

 

Monseigneur Pierre RAFFIN au cours de la célébration de la messe d’installation.

Lors de la célébration : Photos Jean-Marie WEBER

 

M. l'abbé Jean-Louis BARTHELMÉ
M. l'abbé Jean-Louis BARTHELMÉ

 

De nombreux prêtres étaient présents
De nombreux prêtres étaient présents

 

Mgr Pierre RAFFIN
Mgr Pierre RAFFIN

 

Cérémonie présidée par Mgr Pierre RAFFIN
Cérémonie présidée par Mgr Pierre RAFFIN


Caritas Bangladesh Myentthein Promila présente le projet ICDP

Invitée à l’initiative de Caritas France (Secours Catholique), Mme Myentthhein Promila responsable à Caritas Bangladesh nous présente le projet de développement intégré des minorités Rakhaine – ICDP (Integrated Community Development Project)
www.mission-web.com



Pour évangéliser, le baptême suffit

Pour évangéliser, le baptême suffit, rappelle le pape qui exhorte les chrétiens laïcs à annoncer le Christ, car s’ils n’évangélisent pas, l’Eglise devient « une baby-sitter » et non plus une « mère ».

http://www.zenit.org/fr/articles/le-pape-dit-non-a-une-eglise-baby-sitter

C’est ce qu’a affirmé le pape François lors de la messe qu’il a présidée ce matin en la chapelle de la Maison Sainte Marthe, en présence d’un groupe d’employés de l’Institut pour les œuvres de religion (IOR).

 

L’exemple des premiers chrétiens

Selon Radio Vatican, l’homélie du pape François s’est inspirée du passage des Actes des apôtres du jour, après le martyre d’Etienne, (Ac 8, 1-8), où la première communauté chrétienne de Jérusalem, qui était auparavant « tranquille, en paix, vivant la charité mutuelle », subit « une violente persécution ».
« C’est un peu le style de vie de l’Église, a fait observer le pape : entre la paix de la charité et la persécution ». A cause de cette persécution, a-t-il poursuivi, les chrétiens fuient en Judée et en Samarie, hormis les apôtres qui restent à Jérusalem pour « faire un peu de résistance ».
Mais même « seuls, sans prêtres, sans évêques », les premiers chrétiens évangélisent, a fait observer le pape : « ils allèrent répandre partout la Bonne Nouvelle de la Parole » (Ac 8,4).
Ainsi, « ils ont laissé leur maison, ils n’ont peut-être emporté que peu d’affaires ; ils n’avaient pas de sécurité, mais ils sont allés d’un lieu à l’autre annoncer la Parole. Ils emportaient avec eux la richesse qu’ils avaient : leur foi. Cette richesse que le Seigneur leur avait donnée. Il étaient de simples fidèles, baptisés depuis à peine un an ou un peu plus, peut-être. Mais ils avaient le courage d’aller annoncer. Et on les croyait ! Et ils faisaient des miracles ! »

 

Pour évangéliser, le baptême suffit

Ces premiers chrétiens, a souligné le pape, avaient seulement « la force du baptême » qui « leur donnait ce courage apostolique, la force de l’Esprit ».
D’où une prise de conscience pour aujourd’hui : « Je pense à nous, qui sommes baptisés. Je me demande si nous avons cette force : Croyons-nous que le baptême suffit, qu’il est suffisant pour évangéliser ? Ou bien est-ce que nous « espérons » que le prêtre parlera…, que l’évêque parlera… Et nous ? »
Trop souvent, a déploré le pape, « la grâce du baptême est un peu enfermée, et nous, nous sommes reclus dans nos pensées, dans nos affaires. Ou parfois, nous pensons : “j’ai reçu le baptême, j’ai fait ma confirmation, ma première communion… ma carte d’identité est à jourˮ. Et maintenant, dors tranquillement : tu es chrétien. Mais où est cette force de l’Esprit qui te fait aller de l’avant ? »

 

L’Eglise n’est pas une baby-sitter

Si le chrétien est « fidèle à l’Esprit pour annoncer Jésus » par « sa vie, par son témoignage et par ses paroles », alors l’Eglise « devient une Église mère qui engendre des enfants », sa « fécondité maternelle » est mise en oeuvre, a estimé le pape.
« Mais quand nous ne le faisons pas, l’Église devient non pas mère, mais une Église « babysitter », qui s’occupe du petit enfant pour l’endormir. C’est une Église assoupie », a-t-il ajouté.
« Pensons à notre baptême, à la responsabilité de notre baptême », a insisté le pape : « Nous avons une grande responsabilité, nous qui sommes baptisés : annoncer le Christ, faire avancer l’Église. Être chrétien… est un don qui nous fait aller de l’avant dans l’annonce de Jésus-Christ, avec la force de l’Esprit. »
« Demandons au Seigneur la grâce de devenir des baptisés courageux et sûrs que l’Esprit que nous avons en nous, que nous avons reçu au baptême, nous pousse toujours à annoncer Jésus-Christ par notre vie, par notre témoignage et aussi par nos paroles », a conclu le pape.

Traduction d’Hélène Ginabat avec Anne Kurian